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Mais au faite, le sumo qu'est-ce au juste :

Le monde du sumo professionnel est régi par une seule et unique organisation: Nihon sumô hyôkai. Tous les lutteurs qui en font partie sont donc considérés comme profesionnels engagés à temps complet dans la voie du sumo.
Le monde du sumo présente une caractéristique originale qui le différencie radicalement d'autres disciplines sportives; il s'agit de son organisation verticale très rigide, venue en droite ligne du Japon féodal des shôgun et des samurai. Ce système évoque pour moi une sorte de microcosme des grands zaibatsu d'avant-guerre, chefs- d'oeuvre, s'il en est, du capitalisme et du paternalisme outrancier. Lutteurs, administrateurs, vendeurs de billets et jusqu'aux balayeurs...tous appartiennent à cette association à but non lucratif totalement incontrôlée.
Au sommet de la pyramide, les dirigeants, qui détiennent le pouvoir moral et financier; puis les grands champions et tout en bas les débutants.
Chaque lutteur a son nom écrit en hanji (idéogrammes chinois) sur le banzuke, programme officiel répertoriant les lutteurs selon leur grade. Le banzuke, édité préalablement à chaque basho (tournoi), est imprimé en hanji anciens, tracés de façon stylisée; il est donc plus symbolique qu'autre chose, puisque la majorité des Japonais est incapable de le déchiffrer.
La pyramide du sumô commence, tout en bas, par le groupe maezumô (pré-sumo). Les jeunes garçons qui y font leurs débuts sont àgés de treize à seize ans, leurs cheveux n'ont pas encore suffisamment poussé, depuis leur incorporation dans les rangs du sumô, pour pouvoir être coiffés à la manière traditionnelle; la catégorie maezumô ne figure d'ailleurs pas sur le banzuke, bien que les garçons luttent lors de chaque tournoi.
Pour passer dans la division supérieure, jo-no-kuchi, ils doivent accumuler quatre points au cours de sept jours de combat. Un point leur est attribué lorsqu'ils ont réussi à vaincre deux adversaires consécutivement. Ceci signifie que si le jeune garçon perd son premier combat du jour, il doit attendre le surlendemain pour obtenir une nouvelle chance de marquer un point.
Il n'y a pas de classement en maezumô. Les six autres divisions possèdent par contre chacune leur classement numérique individuel, en plus d'une séparation en camps Est et Ouest pour les divisions supérieures, l'Est étant considéré légèrement supérieur.
De jo-no-kuchi à maku-shita, la plus haute des divisions inférieures, les lutteurs n'effectuent que sept rencontres par tournoi, contre quinze pour les divisions supérieures: jury) et mak u-uchi. Le nombre d'or est donc de quatre victoires pour les divisions de jo-no-kuchi à maku-shita et de huit pour les divisions supérieures. Lorsqu'un lutteur atteint ce chiffre magique, on dit qu'il a fait kachi-koshi, ce qui assure sa promotion en lui faisant gravir quelques marches de la pyramide; plus le lutteur fait état de victoires au cours d'un même tournoi et plus sa promotion est rapide. Le lutteur qui a perdu plus de combats qu'il n'a de victoires fait make-koshi et s'enfonce de quelques échelons.
Quelques quatre cent vingt lutteurs s'affrontent dans les divisions jo-no-kuchi, jo-ni-dan et san-dan-me; mais c'est au sein de la division maku-shita, qui signifie en dessous du rideau, que se joue l'avenir du lutteur. Cent vingt lutteurs s'y affrontent et tentent de gagner quelques rangs, tournoi après tournoi. La compétition est rude et malchance, mauvaise forme ou maladie n'y sont point permises; le lutteur malchanceux peut, en l'espace d'un tournoi médiocre, perdre le bénéfice de ses deux ou trois précédents tournois.
A force d'efforts, un certain nombre de lutteurs parviennent à se hisser dans les rangs de la catégorie supérieure: jaryô. Jtitryii est la division intermédiaire des candidats à la consécration, l'antichambre qui doit leur permettre de franchir le rideau de maku-uchi. Pour les lutteurs de maku-shita, c'est le rêve, la grande vie, les lumières et enfin une paye régulière. L'origine du terme jizryô, qui signifie dix ryô, remonte aux kanjin-zumô de l'ère Tokugawa, au cours desquels chaque lutteur recevait un ry3 par victoire au début de sa carrière; cette somme grossissait ensuite au fur et à mesure de l'accumulation des succès et les lutteurs qui percevaient la somme de dix ryô portaient le nom de jury).
Le statut du lutteur change radicalement avec le passage dans cette division. Il n'était jusqu'alors qu'un rikishi (athlète); il prend désormais le titre de sekitori— un terme qui vient de seki o toru (passer la barrière). Sa coiffure change également: il peut maintenant accéder à un style plus élaboré, connu sous le nom de oicho-mage, qui pourrait se traduire par coupe feuille de ginkgo, au lieu du simple
thon-mage qu'il arborait jusqu'à présent. Il perçoit aussi un salaire régulier et substantiel par rapport aux maigres rentrées du maku-shita. Il a à sa disposition plusieurs rikishi de divisions inférieures, appelés tsukebito (personne attachée), pour faire ses courses, le peigner, lui frotter le dos dans le bain et le servir à table. Il possède un kôen-kai (fan-club) formé, au départ, par la famille et les relations, mais qui va s'élargir au public s'il continue sur sa lancée. Un des premiers gestes du kôen-kai sera de recueillir suffisamment de fonds pour payer au nouveau sekitori son keshô-mawashi, un tablier richement orné arboré lors du cérémonial qui précède les combats des divisions supérieures. Le prix de cette parure tourne aux alentours du million et demi de yens, les plus beaux valant parfois dix millions de yens (de 1984), lorsqu'ils sont ornés de diamants.
Les jaryô forment un groupe restreint de vingt-six lutteurs; la pression y est intense et la porte ne s'ouvre que pour la montée en maku-uchi ou la chute en maku-shita. Pour plus d'un lutteur, la promotion au rang de jaryô est souvent le moment le plus exaltant de sa carrière, plus encore que lorsqu'il devient shinnyu-maku.

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